Trouvez le point G des SERP

Vous les avez réclamés pendant des semaines…

Certains ont cru que je les avais perdus quelque part…
D’autres que je les avais volontairement noyés dans l’étang…
D’autres que je n’avais plus rien à dire…
Certains sont même allés jusqu’à affirmer que je ne voulais plus rien dire, car la mafia de l’international-SEO-contest-fraternity m’avait sommé de la fermer si je voulais conserver mes écureuils en vie…

Bref, à tous ceux qui avaient fait des réserves d’aspirine : bonne nouvelle, les maths sont enfin de retour sur le blog ! 🙂

De quoi va-t-on parler ?
Du point G des SERP, une curiosité qui rend bien des services !

« Eh, moi j’ai fait {avion en papier} en matière principale lors de mes 3 seuls mois à la fac ! ».
Ne t’inquiète pas, heureux aviateur, on va tout t’expliquer !! 😉

C’est bon, vous avez pris l’aspirine ?

1) Introduction

a) Une SERP (page de résultat sur un mot-clé dans un contexte très précis de personnalisation) est-elle une entité pour Google ? Cette entité, si elle existe, est-elle observable ? Son observation nous apporte-t-elle des informations que l’on n’aurait pas autrement ? Et finalement, une vraie question : Google manipule-t-il la première page des SERP ? Peut-on lire et décrypter cette activité de la part de Google ?

b) Le paragraphe qui précède est ce dont on ne va pas parler dans ce billet aujourd’hui (désolé ;-)). Par contre, on en parlera peut-être un jour ici même…

c) Rassurez-vous, on va quand même parler de choses bizarres !

2) Objectif

Nous allons chercher à avoir des mesures quantifiées exploitables sur les SERP.
Avec ces mesures, selon ce que l’on cherche, on va pouvoir, par exemple, fixer un budget SEO, évaluer précisément la complexité totale d’une thématique, faire un premier tri de mots-clés, etc.

La représentation pour une SERP, en un lieu donné, à un moment donné, est une simple puce. Nous verrons cela plus loin.
Du coup, vous pouvez cartographier l’évolution des SERP dans le temps, géographiquement ou les deux à la fois.

Quand certaines SERP bougent beaucoup selon les villes de votre pays cible, vous pouvez placer les résultats synthétisés sur une carte du pays et voir les points chauds d’un seul coup d’œil sur la carte.

Imaginez maintenant que vous faites cela chaque jour, sous forme de vidéos. Vous pouvez visualiser où cela bouge le plus, comme vous le feriez avec les cartes météo animées que l’on voit dans les journaux télévisés.

3) De l’observation des SERP

Nous avons tous appris à positionner un site. Cela se résume schématiquement, sans que cela ne soit réducteur, à ceci : du contenu sur le money-site, du contenu ailleurs et des liens qui vont de « l’ailleurs » vers le money-site. L’ensemble de ces « relations » confère une « note » à vos pages par rapport à un couple {mot-clé, intention supposée de l’internaute}.

Du coup, on est libre de penser qu’au fond, une SERP résulte uniquement de la somme des « notes » de chaque résultat sur un mot-clé donné. Mais comme je le disais chez Sylvain, ce serait trop simple si c’était comme cela.

Par conséquent, plutôt que de se morfondre en se plaignant, prenons du recul et regardons, observons, soyons curieux, tous les sens en éveil, les neurones indiscrets. Les conclusions s’imposeront d’elles-mêmes, laissez venir…

4) De la méthodologie

Quand on veut poser un problème un peu nouveau, on va se choisir un outil mathématique, un modèle, permettant de faire des calculs.

Rappel : les mathématiques n’expliquent rien, elles permettent juste de calculer des résultats, d’avoir des réponses.

Je vais être plus précis :
Y’a un gars dans le temps qui tuait les gens en leur balançant des pommes sur la tête.
Le gars en question a mis en évidence que l’on pouvait calculer par avance l’impact qu’avaient les pommes quand elles s’écrasaient sur la tête des gens, en fonction de la hauteur de laquelle on les lançait (les pommes, pas les gens, quoi que…).
Le gars s’appelait Newton (d’où l’expression « tomber dans les pommes » et si d’autres ont subi le même sort quelque temps avant, on peut dire que l’on est « tombé sur un os » ;-)).

L’outil abstrait mathématique utilisé ici par Newton pour faire ses calculs par avance s’appelle une « force ». (Personne n’a jamais vu de force, mais ça marche, donc pourquoi s’en priver ?)
L’outil est abstrait, les maths le sont tout autant, mais les résultats obtenus fonctionnent plutôt bien.

J’ouvre une parenthèse :
Les résultats obtenus par les mathématiques sont d’autant plus « réels » qu’ils s’expriment eux aussi dans un espace tout autant élaboré de façon mathématique. Mais je vais éviter de vous prendre la tête avec cela, le rapprochement de l’abstraction mathématique avec la réalité observable, la pensée (ainsi que l’imaginaire) n’étant pas au programme de ce billet. Notez tout de même que grâce à 6 sens et quelques neurones, vous arrivez à avoir une représentation du monde. Une fois que vous êtes dans votre système de représentation intellectuelle, vous pouvez faire des calculs avec vos neurones dont les connexions ne ressemblent absolument pas aux sujets que vous observez. Pourtant, ça marche ! Les neurones sont aussi un outil « mathématique ».
Fermeture de la parenthèse (prendre encore de l’aspro ici).

Cela implique que les forces, d’une manière générale en physique, ne sont que des outils qui permettent des calculs, MAIS QUI NE SONT PAS des explications.

Il existe des tas d’autres outils. Quand on a un problème, on se choisit un modèle et on se sert des outils qui vont avec.

5) Le modèle

Moi, je décide ici d’utiliser les masses et centres de gravité pour exprimer une représentation d’une SERP. Je vais donc dire qu’au fond, une SERP, c’est comme un objet ayant une masse, une densité qui n’est pas uniforme dans son volume. C’est mon modèle ici. J’ai le droit si les résultats sont justes une fois revenu dans la réalité.

On va avoir des petits dessins, rassurez-vous !

– Je pose mon espace d’observation et son système de coordonnées. Je ne veux que deux dimensions. La première servira à placer un objet simple. Il sera horizontal vu de l’observateur qui le voit aller de gauche à droite. La deuxième dimension va être l’axe vertical dans le sens duquel vont pouvoir s’exercer les forces sur l’objet, toujours du point de vue de l’observateur.
Note : j’ai du coup en réserve une troisième dimension qui me sera bien utile quand je voudrai avoir une représentation des changements dans le temps ou dans l’espace. Il ne faut jamais gaspiller en modélisation !

– Je pose {pos} qui est une unité de mesure analogue à une distance, quantifiée sur 10 valeurs discrètes entières (dans N donc). Vous l’avez compris, on va de 0 à 9, mais 3,91 n’existe pas dans ce modèle (quoi que… ;-)).

– Je pose {serp} qui est un simple fil, de masse nulle. Il n’a pas de largeur, mais il a une longueur. Cette longueur court sur l’axe horizontal disponible lors de l’observation. La distribution des masses sur mon objet « fil » ne sera pas uniforme. Ce fil est placé sur l’axe horizontal, de gauche à droite donc.

– Je pose {résultat}, j’en ai 10. Le résultat 0 est la rondelle de fil qui est à la première position sur l’axe horizontal en partant de la gauche. Le résultat 9 est le 10e, donc, le dernier à droite.

– Je pose {masse} la valeur que je veux étudier lors de l’expérience. Cela peut être la quantité de liens reçus avec ancres exactes, la quantité de liens en général, le PR thématique des pages de la SERP, le niveau de l’optimisation on-page, la fraîcheur du contenu, peu importe quoi : cela dépend de ce que vous voulez observer.

– Je pose {G}, le centre de gravité d’une SERP par rapport à ce que l’on a retenu comme mesure pour l’observation.

Un petit dessin pour ceux qui ne dorment pas encore :
 

6) Des SERP au modèle, calcul du point G

Je vais donner un exemple concret.
Disons que je veux observer une SERP et ses évolutions sous l’angle du nombre de liens reçus par chacune des pages formant ladite SERP. Je prends cet exemple, car j’imagine qu’il vous parle. Non ? Alors, changez de métier ! 😉

Calcul de la masse totale de la {serp} :
Facile : c’est la somme de tous les liens reçus par l’ensemble des 10 {résultats}
Donc, BLrésutat_1 + BLrésutat_2 +… + BLrésutat_10

Calcul du centre de gravité {G} (appris à la maternelle) :
Je fais la somme de tous les produits {pos}*{résultat} soit 0* BLrésutat_1 + 1* BLrésutat_2 +… + 9* BLrésutat_10.
Puis je divise le résultat par la masse totale. J’obtiens alors la distance par rapport au 0 qui est tout à gauche de l’axe horizontal.

La masse totale va me permettre de percevoir le niveau de compétition d’une SERP.
Le centre de gravité va me permettre, quant à lui, de situer si les combattants se valent, où si, au contraire, il existe de gros écarts de niveau entre la première moitié de la SERP et la seconde moitié. 

7) Pourquoi prendre G ?

L’idée, derrière cela, est de mettre en évidence la présence de mouvement dans une SERP. Cette observation est macroscopique au sens où un acteur peut en remplacer un autre dans une SERP sans que cela n’affecte la mesure. C’est d’ailleurs l’objectif.

Ce seront les variétés du centre de gravité (sur plusieurs observations donc) qui seront les plus instructives. Si vous voyez le centre d’une SERP, au sein d’une même journée, se promener entre 0 et 9, vous avez le droit de chercher le pourquoi du comment (Fraîcheur ? Filtres ? Bidouillage de Google ?…). Assurément, les variations de {G} vous en apprennent beaucoup sur vos SERP.

L’outil vous donne de quoi faire des observations, de noter des variations faibles ou violentes. À vous de vous creuser pour interpréter la cause des mouvements.

8) Représentation graphique

Il y a mille et une façons de représenter à la fois une masse et un centre de gravité. On n’a pas besoin d’ailleurs d’une précision extraordinaire si on veut juste étudier les tendances dans le temps.

On peut, par exemple, avoir une puce dont la taille va donner la position du centre de gravité, et une couleur de remplissage qui va changer en fonction de nombre de liens (i.e. vous allez du vert, en passant par le jaune, l’orange puis le rouge).

Exemple, 2 villes sur 3 jours :



Vous pouvez aussi représenter le {fil} directement : juste un trait, avec la bonne couleur en fonction des BL et un pic vertical à l’emplacement de {G}. Choisissez la représentation avec laquelle vous êtes à l’aise.

9) Interprétation des résultats

L’interprétation va bien sûr dépendre de ce que vous voulez observer/mesurer et si vous prenez plusieurs mesures (dans le temps et/ou dans l’espace).

La chose la plus curieuse est que, lorsque l’on joue avec cela pour les liens, on voit que l’on a des figures qui reviennent souvent et que l’on pourrait faire des familles de SERP. Moi, je n’ai rien dit ;-).

Amusez-vous bien, l’exercice est très instructif et pédagogique.

10) Conclusion

La prochaine fois, on étudiera l’âme des SERP.
Mais non, je rigole ;-).
 
Je vais compter jusqu’à 10 et à 10, vous vous réveillerez : 1, 2, 3… 10 : La forme ?

Quelqu’un a vu l’aviateur ?
 

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Commentaires (21)

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    Philippe

    |

    Un bon titre et un billet pour s’envoyer en l’air, d’ou l’histoire de l’aviateur je suppose !

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    Bruno

    |

    Je suis très loin de te comprendre parfaitement dans cet article, mais je comprend l’idée général. Du moins je crois.
    C’est assez amusant, car c’est quelque chose que j’avais remarqué, sans jamais le comprendre. Va ma falloir plus de tests. Car je suis toujours autant perdu 😀

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    Cynthia Castelletti

    |

    J’ai tout lu et j’ai tout comprendu (presque) sans aspro hé!
    En gros, un cercle est un carré, un carré est un cercle. Fastoche! 🙂

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    Ludovic

    |

    Hello le Panda !

    tout d’abord j’ai noté 3 chapitres de préliminaires, ça me semble correct pour le but annoncé.

    Je pense qu’il faut quand même lire tes posts sur les multi-radars et ton PodtCast chez Laurent Bourelly pour voir ce que tu en fais et comprendre la puissance du modèle.
    C’est vraiment intéressant en tout cas et très pédagogique.

    La vision dans le temps me semble très intéressante également pour mesurer la « vitesse d’arrivé » qu’on doit suivre.

    Bref, tout ça c’est du SEO chirurgical … et d’autres dirons de la br.nl.t.e
    Moi, ça me plait bien.

    ++

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    Alexandre

    |

    Content de ton « retour » Christian, je voyais Laurent B très actif depuis quelque temps et je regrettais que tu n’en fasse pas de même. Moi qui n’est jamais eu la bosse des maths, je crois que je vais lire ton article plusieurs fois pour bien digérer tout ça… En tout cas heureusement que ce n’est pas aussi difficile de trouver l’autre point G, si cela demandait autant de calculs je serais bien embêté… lol

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    Thomas Cubel

    |

    Salut Christian,

    Merci pour cet article très intéressant qui a pas mal attiré ma curiosité.
    La représentation graphique d’une SERP en ajoutant sa masse et son point de gravité, c’est vraiment pas mal pensé.
    Cependant, j’ai une petite question à propos de ce modèle.

    Le fait de faire un axe horizontal représentant une SERP de 0 à 9 positions avec 10 résultats, ça c’est bon, j’ai bien compris et représenté sur un axe horizontal.
    Par contre, pour ce qui est de la position du point G entre les points 0 et 9, tu me perds.

    Par rapport à la masse que nous devons placer, prenons ton exemple, la quantité de backlinks que possède la page positionnée. Admettons, j’ai 120 000 BL sur le premier résultat, 100 000 sur le deuxième, 150 000 sur le troisième, etc.

    Techniquement, si je représente cette masse de backlinks au niveau de l’axe des ordonnées, je vais avoir pour chaque résultat une barre avec une hauteur égale à la quantité de mes backlinks selon l’échelle. Ainsi, j’obtiendrai probablement une grande barre sur le résultat #1, peut-être un peu moins sur le résultat #2, etc. (C’est aléatoire).

    Mais voilà le point qui me pose problème. Lorsque tu en viens à placer la distance entre l’origine et le point G sur l’axe des abscisses, comment fais-tu pour placer un tel point sachant que la somme des produits {pos}*{résultat} est énorme (supérieur à 9) ?

    J’ai bien compris que ton vecteur masse allait montrer la somme des longueurs de toutes les barres en ordonnées, mais sa position représentant un équilibre parfait de la SERP m’est un peu floue.

    Pour te donner un de mes exemples, j’ai un tableau Excel avec ceci :

    – POS0 => RESULTAT1 => 120 000 BL
    – POS1 => RESULTAT2 => 100 000 BL
    – POS2 => RESULTAT3 => 150 000 BL
    – POS3 => RESULTAT4 => 98 000 BL
    – POS4 => RESULTAT5 => 60 000 BL
    – POS5 => RESULTAT6 => 40 000 BL
    – POS6 => RESULTAT7 => 10 000 BL
    – POS7 => RESULTAT8 => 15 000 BL
    – POS8 => RESULTAT9 => 25 000 BL
    – POS9 => RESULTAT10 => 3 000 BL

    Masse totale = 621 000
    Centre de gravité G = 2147000

    Comme tu peux le constater, il est difficile de placer la distance avec une valeur en millions :/
    Pourrais tu m’éclairer ? Comment placer le point G sur ton axe horizontal ?
    J’ai rien compris à ton article ou il me manque un élément ? 😀

    Merci ! Et bonne continuation à toi !

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      Christian Méline

      |

      Thomas,

      « Je fais la somme de tous les produits {pos}*{résultat} soit 0* BLrésutat_1 + 1* BLrésutat_2 +… + 9* BLrésutat_10.
      Puis je divise le résultat par la masse totale. J’obtiens alors la distance par rapport au 0 qui est tout à gauche de l’axe horizontal.  »

      2147000 / 621000 = 3,4 (en arrondissant).

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        Thomas Cubel

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        Ah ouai, mince j’avais pas vu !
        Je suis passé pour un idiot là 😀
        Merci Christian ! 😉

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          Christian Méline

          |

          Le vendredi, fin de semaine, moi aussi dans ces conditions, je zappe des choses 😉

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    Régis

    |

    Certains l’ont déjà écrit, mais je le redis, c’est ce genre d’article qu’on aime lire ici, et toujours aussi pédagogique.

    Comme tu le sais, je suis amateur de question con. Et comme Thomas a déjà posé la sienne (je plaisante), j’ai peur que deux questions cons à suivre parraissent beaucoup. Je veux dire que le point G de la connerie risque de grimper en flèche après tout ça…

    La voilà.

    J’ai une expression clef qui serait par exemple « chaussure bateau ».
    J’en ai une autre, très importante pour moi malgré tout, qui serait « chaussure bateau bleue ».
    Dans ce cas, pour calculer le point G sur les BL avec l’ancre « chaussure bateau », faut-il que je comptabilise aussi les BL sur l’ancre »chaussure bateau bleue » ?

    PS : je trouvais important d’avoir un KW plus terre et mer pour contrebalancer ton aviateur…

    bon week end,

    Régis

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      Christian Méline

      |

      ça dépend, c’est des pompes pour bateau bleu, ou c’est des pompes bleues pour bateau ?

      Sérieusement, il y a 2 G à étudier ici.
      Un troisième G sur l’ensemble des BL peut être intéressant aussi.

      Par contre, des pompes bleues, c’est moche !

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    Aurélien

    |

    Ça parait très simple quand on regarde ton article de loin mais quand tu dois qualifié une expression style « rachat de crédit » (pour prendre un exemple qui parle aux seos)), il faut penser aux variantes style « rachat crédit », « rachat de credit »…

    Et là ça change tout, tu t’aperçois que la concurrence est biaisé par les expressions connexes.

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      Christian Méline

      |

      Tu fais un agrégat dans ce cas

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    Ludovic

    |

    On parle beaucoup des liens dans tous ces exemples mais un lien en vaut-il un autre sur une ancre donnée ?
    Y a-t-il des corrélations de mesures à prendre en compte ?
    Une fois tout ça établit peut -on encore travailler à la main sur ces analyses ?

    Bref, y a du boulot …

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    Graphemeride

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    Moi j’ai rien compris *snif*

    On le refait ?

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      elodie

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      Tu es loin d’être le seul^^

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    khou

    |

    Bonjour Christian,
    Merci pour ce mini cours de maths appliqué au réf, une mise en pratique intéressante pour ceux qui pense que les maths çà sert à rien !
    Sans doute la 3ème question con des commentaires, je me disais qu’étant donné que c’est souvent les premières positions qui se retrouvent avec une grande quantité de BL, qu’il y avait de fortes chances pour que le point G soit souvent inférieur à 5 . Es-tu d’accord avec çà ou bien penses-tu le contraire, qu’il y a des cas où l’on peut se retrouver avec un point G supérieur à 5 ? Et as-tu déjà eu de nombreux mots-clés dans ce cas ?

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      Christian Méline

      |

      Salut Sandrine,

      Pas forcément, même si on exclut les wikitrucs et compagnie.
      C’est d’ailleurs ça qui est instructif : certaines SERP semblent interdites aux BL en masse… et l’art consiste à se placer pile-poil avec la bonne quantité mais pas la plus grande quantité.
      Parfois, on a aussi des effets de vagues d’une journée sur l’autre assez amusants…
      C’est bien, c’est varié !

      Donc, non, ce n’est pas toujours inférieur à 5, mais on aurait pu le croire en effet.

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        Sandrine

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        Donc le « jeu » consiste à se rapprocher au maximum de ce point G pour bénéficier du meilleur positionnement possible … je vais essayer de mettre en pratique alors !
        Pour les variations à vagues, je l’ai remarqué sur des mots-clés type actualités fraîches ou très concurrentiels, c’est surprenant de constater toutes ces variations sur un laps de temps très court.
        Merci encore Christian pour toutes ces infos qui nous font avancer d’une « position » à chaque fois. Bonne semaine.

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          Christian Méline

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          Donc le “jeu” consiste à se rapprocher au maximum de ce point G pour bénéficier du meilleur positionnement possible … je vais essayer de mettre en pratique alors !

          disons plutôt qu’il faut plutôt adapter sa stratégie dès que G est « bizarre »…

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    Florian

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    Très intéressant ce point G ! Je vais travailler dessus, dedans, autour, bref… 🙂 Tes articles ouvrent l’esprit des SEOs et c’est franchement canon je trouve. Gate-nous en 2014 !

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