Nous avions consacré une série d’opus sur les structures en SEO. Nous entamons aujourd’hui une nouvelle série : les opus « sémantique et corpus ». Il y a tant à dire, malgré les apparences !
Les mentalités ont évolué dans le SEO depuis la date de l’ouverture de ce blog.
Certes, cela ne se voit peut-être pas encore dans les pratiques de tous.
Pour autant, l’ouverture d’esprit est là. Ce sujet n’aurait pas eu d’audience il y a seulement 3 ans. Pourtant, ce n’était pas hors propos, même à l’époque…
Vous avez eu plusieurs mois pour vous distraire, maintenant, il faut se remettre au boulot…
On reprend les opus.
Celui-ci, l’opus 4, va peut-être vous faire trembler (ce sera moins dur que le supplice de Tantale, rassurez-vous !).
Je vous présente aujourd’hui une heuristique pour estimer la qualité sémantique objective d’un texte, rien que cela !
Cette qualité sémantique objective est un préalable incontournable pour un moteur qui espère pouvoir « noter » la qualité d’un texte. Ce critère, à défaut de pouvoir « décider » définitivement de la qualité globale d’un texte, lui permet d’éliminer tous les textes bidon ou sans intérêt flagrant.
Nous abordons une série de 3 billets sur les « structures ». Le premier opus va parler des cocons sémantiques, mais on en parlera aussi dans le troisième opus.
Parmi les sujets tabous du référencement, les cocons sémantiques sont souvent évoqués, mais rarement expliqués.
L’ami Laurent lui-même les évoque souvent, mais il n’en parle qu’à demi-mot sur son blog…
« Comment cela, on va parler de PageRank ?
Mais le PageRank c’est mort, tu ne le sais donc pas ?
Et puis, tu fais des liens, faut plus en faire malheureux !!
T’es fou, toi ? Avec des ancres exactes aussi peut-être ? Mais t’es un grand malade ? »
Interpellé lors du dernier SEO-CAMP DAY de Bayonne par Laurent sur cette question des corpus, je rebondis aujourd’hui sur cette notion qui semble parfois méconnue et, dans tous les cas, très largement sous-utilisée en référencement.