Le PAF-SEO, l’arme fatale en référencement

Souvent, le référencement ne consiste qu’à travailler les expressions qui semblent les plus porteuses pour le site que l’on a à défendre.

Quand vous y allez trop fort, Google vous le fait comprendre après coup en dégradant votre site plus ou moins sensiblement…

Les pages de résultats étant un classement, il n’existe que deux méthodes en apparence :
  • être plus fort que les autres et leur passer devant,
  • voir les autres tomber, ce qui vous permet de gagner des positions si ceux qui tombent sont devant.
À cause des filtres un peu nunuches de Google, certains ont imaginé une autre technique : faire du « négative SEO » (NSEO) : vous faites le référencement de vos concurrents, mais vous y allez très très fort… si les sites de vos concurrents n’ont pas trop la côte auprès de Google, ils peuvent se faire pénaliser…

Cette technique est assurément horrible quand on y pense, bien qu’elle ne marche pas aussi bien qu’on le dit.

Peut-on imaginer une autre manière de progresser dans les SERP, propre, white, mais très amusante ?

Cette méthode existe, elle s’appelle le PAF-SEO.

MISE-EN-GARDE
Ne faites pas cela pour vos clients, cette méthode est amusante, mais elle n’est pas juste moralement.
Par contre, pour vos propres sites, elle est redoutable, alors pourquoi pas ?

On y va ? On joue ?

1) Le contexte

Il y a 3 grandes « classes » de SERP :
  • celle où personne ne se bat sur le mot-clé => pas concerné ici,
  • celle où il y a au contraire 15 compétiteurs, tous presque également acharnés => pas concerné ici,
  • celle où 3 compétiteurs se bagarrent pour le top3 => là, vous pouvez les démolir.
Si vous observez cette classe de SERP, celle où 3 compétiteurs se bagarrent de façon acharnée, vous observez souvent que la quantité d’ancres posée par les compétiteurs sur le mot-clé est anormalement élevée.

Par exemple, j’ai vu des cas où des boites de ref, faisant peu dans la subtilité, plaçaient des centaines de milliers de liens pour un mot-clé tapé pourtant moins de 500 fois par mois.

Bien sûr, ce n’est pas fait manuellement. On ne fait alors plus les liens au kilo, mais à la tonne !

Pire encore, ils ne travaillent finalement de cette façon que quelques mots-clés, en quantité très faible.

Vous pourriez être tenté de vous mêler à la bagarre, seulement voilà, les liens que l’on pouvait faire avant en masse, on ne peut plus les faire aujourd’hui, donc, vous n’êtes pas à égalité de moyens avec votre concurrence qui a fait ces liens avant…

Comment faire pour terminer en tête alors ?

2) Préalable

Vous êtes plus fin que ces gros lourdingues du référencement qui squattent les 3 premières places à coups de spams massifs, vous avez également écouté le podcast fait chez Laurent Bourrelly où je vous propose une méthode, que j’espère plus fine, pour faire du Netlinking.

Vous savez donc à présent comment faire pour arriver en première page des résultats de Google sur un mot-clé réellement intéressant. « Tiens ? Sur les toutes premières positions, il y a quelques bourrins : chouette, je vais me les faire aussi ! »

Attention, j’insiste : seules les 3 premières places, maxi, doivent être prises par bourrinage.

Posez-vous une question : pourquoi ces 3 concurrents travaillent-ils à ce point ce mot-clé ?

Si ce sont des boites de référencement, il est probable qu’ils surveillent leurs positions sur ce mot-clé quotidiennement et qu’ils défendent celle-ci.

On s’interdit de faire, nous, du NSEO…

Et s’ils se sabordaient eux-mêmes ? Comme ils ont l’air un peu cons avec leur machine à faire du lien automatique en 2013 sur des sites de sociétés, cela devrait être jouable 😉

Préparer donc votre action : notez bien les positions de chaque concurrent, pour chacun d’entre eux, relevez l’activité récente qu’ils ont sur le mot-clé grâce à un outil comme Majestic-SEO, notez le nombre d’ancres de chacun, le tout dans un tableur ou autre.

3) Poussez votre premier pion

Soyez très progressif, commencez à travailler doucettement, pas d’action précipitée surtout, allez-y mollo. Vous allez d’abord viser la position 5 ou 6, c’est tout.

Faites en sorte que votre résultat contiennent quelque chose qui vous identifie clairement, votre photo (mais originale), quelque chose dans le TITLE ou dans la description, peu importe, mais quelque chose qui permette à n’importe quel nigaud qui surveille la SERP, de voir qu’il y a un nouvel arrivant.

Tenez compte du fait qu’ils vérifieront peut-être la première page avec autre chose qu’un navigateur. On peut aussi penser que de temps à autre, la première page de résultat sera montrée à des clients pour montrer à quel point ces rois du référencement sont balaises…

4) Attente du repérage par l’ennemi

Restez pour le moment en 5 ou 6e position et regardez si vous voyez une nouvelle activité de la part de vos compétiteurs.

L’idée est de voir s’ils vous ont repéré, vous, le nouvel arrivant dans cette première page.

Au besoin, s’ils sont longs à la détente, gagnez gentiment une position pour qu’ils voient bien que vous êtes là et que vous arrivez…

5) Le deuxième pion

Il commence à y avoir un peu d’activité, peut-être pas énormément, mais il semble qu’ils vous aient vu. Bien.

N’oubliez pas : vous, vous travaillez très calmement les ancres et vous ne visez pas le top 3, donc, pas de spam, juste de quoi arriver, à la régulière, en POS 4. Mais les autres ne savent pas quelle position vous voulez avoir de cette façon.

Allez, travaillez un peu pour aller en POS 4, normalement, elle est accessible avec assez peu d’ancres, c’est pour le top 3 que cela se complique, pas pour la POS 4.

Vous êtes maintenant en POS 4 🙂
Ils sont gentils ces bourrins du top3, quand vous mettez 1 ancre, ils en posent 100, voire 1000… apparemment, ils ne connaissent pas Pengouin…

Continuez de poser quelques liens, gentiment, sans forcer, juste de quoi leur montrer que vous ne souhaitez pas vous contenter de la POS 4. Allez-y toujours très très calmement.

Comme ils raisonnent par tonnes de liens, ils vont commencer à surréagir.

Continuez un peu encore… Ils vont finir par aller voir dans Majestic ce que vous faites exactement. Ils vont commencer à se demander si vous n’avez pas un site caché à Majestic sur lequel vous feriez des liens en masse pour aller chercher leur position, celle à laquelle ils tiennent tant.

6) Le coup de grâce

Oui, c’est bien la première position que vous visez, du moins, vous allez leur faire croire…

Une des stratégies possibles alors, mais ce n’est pas la seule, est de faire quelques liens à partir d’un site quelconque qui démultiplie les URL à coup de variables de recherche.

Certains sites savent vous créer 200.000 liens apparents quand il n’y en a qu’un seul, uniquement parce que lorsque vous faites une recherche, le site génère des URL du type : sitequidemultiplielesurls.com/?search=qquchose.

Bien sûr, ce site a déclaré dans les Google Webmasters Tools que cette variable « search » devait être ignorée.

Du coup, pas de risque côté Google, mais côté Majestic et autres, les URL s’empilent autant que les lapins se reproduisent…

Là, comme vous produisez des liens en apparente quantité, la réaction des compétiteurs bourrins ne se fait pas attendre et à leur tour ils surenchérissent, mais à coup de vrais liens. Ils ne se rendent même pas compte que cela ne sert à rien…

Attiré par le poisson à manger, le Penguin passe par là, ou un quality Rater et les sanctions tombent sur les bourrins.

Avec les règles actuelles, ce sont plutôt les liens récents qui sont détectés, il fallait juste que les bourrins d’en face en fassent quelques-uns pour se faire repérer par le monstre Google.

Avec un peu de chance, vous voici premier maintenant avec assez peu d’ancres.
Cool la vie, non ?

7) Conclusion

Cette méthode est inspirée d’une histoire réelle. Le pire est qu’elle marche !
Ce n’est pas la seule méthode utilisable pour pousser les bourrins à se suicider tout seul. Mais qu’est-ce que c’est drôle 😉

Ah oui, pourquoi PAF ? Non, rien à avoir avec paf le chien… Mais cela vient de « Pousser À la Faute » (ça marche aussi avec « Pousse à l’Auto-Flingage »)…

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Commentaires (37)

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    Laurent Olivares@Neameta communication

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    Technique de la patience qui doit bien souvent fonctionner. 😉
    Merci pour l’article et le conseil, à l’occasion ça peut être intéressant à tester.
    Par contre, si ils sont plus occupés à faire du lien qu’a voir les stats genre Majestic ils vont pas nous voir rapidement mais ça devrait payer un jour.
    La force tranquille ? 😉

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    Supernova Annuaire

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    Ou encore PAF : Prêt A Farcir (les dindons) ! 😀

    Encore une belle démonstration de Herr Professor, qui sait rester fair-play même avec la lie du référencement. 😉

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    Presencity

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    Effectivement, cela n’a rien à voir avec Paf chien 🙂
    Il y a quand même quelques pré-requis : que les concurrents utilisent le « bourrinage » de liens ET qu’ils surveillent la concurrence d’assez près.
    La tactique est intéressante en tout cas.

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    Antonin

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    superbe technique, j’adore 😀 Et en plus qui me fait découvrir ce site, une petite merveille qui m’est toujours passez sous le nez jusqu’à maintenant !
    Mais sérieusement, y en a encore des assez c… pour faire du bourinage avec l’ouverture du zoo ?? Temps mieux me diras, plus facile pour les autres 😉

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      Christian Méline

      |

      Oui, il en reste ; il faut comprendre que c’est la seule façon qu’ils connaissent pour se positionner.
      Pour eux, peut-être, puisque leur site n’est pas tombé, c’est qu’il ne tombera jamais et que leurs techniques fonctionnent toujours.

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    Rodrigue

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    Je suis assez sceptique pour le gain aussi facile de position! J’utilise cette technique pour un mot clé (MP si tu veux car assez concurrencé) mais ça fait un bout que les concurrents plafonnent le compteur, j’attends encore, en plaçant mes billes doucement, je repasserai confirmer (ou non).

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      Christian Méline

      |

      Rodrigue, je parle bien du cas où seules les 3 premières positions sont bourrinées.
      Du même coup, un référenceur doit normalement pouvoir se placer à la régulière en position 4, devant ceux qui se référencent avec de faibles moyens.

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    LaurentB

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    J’ai une déclinaison de cette technique, en envoyant du site jetable à l’assaut (EMD + blast) en parallèle du money site, ce dernier devant effectivement mieux réagir à dose homéopathique puisque bien populaire, etc.
    L’effet escompté est aussi de pousser à la faute, mais avec un signal massif d’assaut de la requête.

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      Christian Méline

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      Pas mal aussi, j’aime bien 🙂
      L’idée étant de toute façon de se servir de sa tête pour utiliser à fond, mais à notre avantage, ce que le monstre à créé pour nous flinguer.
      Ce qui se passe dans la SERP fait partie du terrain de jeu 😉

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    Jean@Annuaire géolocalisé

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    Comme le dit si bien Christian, c’est seulement s’il n’y a que 3 concurrents bien agressifs et non le double. Cette technique marche sûrement, mais pas à tous les coups, car il faut aussi avoir en face des référenceurs qui ont la gâchette facile et les nerfs à fleur de peau.

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    Bruno@Ref Annuaire

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    Bonjour Christian,

    Quelle idée judicieuse que de pousser les bourrins à la faute et je confirme que le net en regorge.
    J’irai même plus loin en affirmant qu’une majorité d’entre eux ne sont pas des particuliers ou webmasters d’un ou deux sites, mais bien des professionnels du référencement, ou du moins c’est comme cela qu’ils se présentent à leurs clients pour mieux pouvoir leur pomper leur argent.
    Je suis donc persuadé que cette technique fonctionne.

    Cordialement,

    Bruno

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    gaujay

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    Pas mal la guerre psychologique où l’art de pousser l’autre à la faute, mais cette technique repose sur le postulat de départ que :
    – les concurrents sont arrivés en 1ère pos. par l’intermédiaire d’un netlinking déjà un peu borderline.
    – ces mêmes concurrents suivent à la fois le positionnement et la volumétrie de backlinks de tous leurs concurrents (tout le monde n’est pas équipé).
    – Ils vont réagir en faisant du « sale ».
    Bref il faut être sûr d’avoir en face un certain type de référenceur…

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    Detectimmobilier

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    Cela reste très théorique et surtout assez flou
    En effet, comment « poser quelques liens » permettraient t-il de corriger une position désavantageuse ?

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      Christian Méline

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      « comment « poser quelques liens » permettraient t-il de corriger une position désavantageuse ? »
      Cela fait partie de l’algo de Google. Il faut juste utiliser ce critère avec jugeote et raison.
      C’est le boulot du référenceur que d’arriver, avec quelques liens, à faire monter un site…
      Si une requête est importante pour vous, mais que le podium n’a pas été pris à la régulière, il ne faut pas avoir beaucoup de scrupules de dégager les squatters du podium…

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    Keeg

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    Ca ne fonctionne que dans des cas très très particulier. C’est un exemple, une joli histoire, pas une arme fatale. Des thématiques où 3 s’acharnent avec « personne » derrière, il y en a pas beaucoup. « Restez pour le moment en 5 ou 6e position » puis « gagnez gentiment une position », faut quand même être un mec ultra balèze pour calculer ça à la position. Puis la double Quality Rater + énormes blasts parce qu’un 4ème est là, c’est assez hypothétique.

    Ton billet prend tout son sens de manière globale, sous deux angles :
    1 – Ouais, impossible de se positionner face à des gros très structuré aujourd’hui sans prendre des risques et subir une explosion
    2 – Travailler la concurrence au corps à corps plus que travailler pour soi.

    Tout devient plus stratégique, plus fin, plus long, plus cher.

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      Christian Méline

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      « Tout devient plus stratégique, plus fin, plus long, plus cher. »
      => beaucoup plus intéressant aussi 😉

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    Seo.fr

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    C’est une technique sympa à utiliser une ou deux fois… Encore faut-il connaître le pedigree du concurrent. Ca ne doit pas marcher avec tout le monde, les gens sérieux notamment 😉

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      Christian Méline

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      « Ca ne doit pas marcher avec tout le monde, les gens sérieux notamment »
      => ça tombe bien, les gens sérieux, moi je les aime bien (quel que soit leur couleur de chapeau) ;
      ce que je n’aime pas ce sont les bourrins qui ont un bouton à la place du cerveau

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    Thibaut

    |

    Et bien, je découvre ton site ce matin (honte à moi, je sais) et j’aime déjà ce que j’y trouve.

    Se servir de sa tête pour déjouer bourrins et animaux, c’était déjà une de mes remarques suite au post de Sylvain « Pourquoi je ne joue plus avec GG ».

    J’aime assez ta stratégie et, surtout, l’acronyme qui veut tout dire. Je te suis 🙂

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    Svetlana

    |

    Excellente technique du coup de pression. Ca doit bien marcher en ce moment, certains SEO semblent sur des charbons ardents ! Le marché des cigarettes électroniques pourrait convenir comme terrain de jeu par exemple ^^

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    Loiseau2nuit, Référenceur à Angers

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    Ouh dis donc, une vile technique de fouinasse ! Miam ! ^^

    Ceci dit, j’avoue ne pas saisir où est le danger réel si l’on s’interdit de faire du NSEO ? A priori la technique, telle qu’expliquée ici peut déjà donner du résultat même sur du site client non ? Je vois pas le problème de morale là ? Si en face ils réagissent comme des pieds et à de mauvais stimuli, je vois pas trop pourquoi je devrais me flageller moi même en fait … ???

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      Christian Méline

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      Oui, cela peut marcher pour un site de client, sauf que tu vas faire tomber ses concurrents qui ne sont pas forcément fautifs eux-mêmes.
      En outre, l’agence de ref ne va pas défendre la position du concurrent de ton client comme si c’était pour un de ses sites, ce qui rend incertaine la réaction que l’on attend.
      Pour moi, un mec qui place son site sur un mot-clé tapé 400 fois la bagatelle de 800.000 liens avec ancre exacte ne joue pas à la régulière ; sa fessée, il la mérite 😉

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    Arnaud

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    Ahah pas mal !
    Sincèrement j’y avais jamais pensé et voilà comment tuer les bourrins du seo, fallait y penser.
    Par contre tu fais bien de’expliquer dans quels cas il faut utiliser cette technique, et aussi analyser les 3 premiers sites.

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    Christophe Maggi

    |

    Cette technique certes intéressante sur le papier (sur le site) me semble un peu chronophage pour un gain de place hypothétique. Je pense qu’il y a trop de paramètres à prendre en considération. Mais bon ça n’engage que moi.
    J’ai toujours préconisé un envoi de lien cool et calme de qualité. Quelques liens à la fois, aucune précipitation… keep cool. De plus cette dernière année, j’ai vu pas mal de concurrents dans plusieurs thématiques se flinguer tout seul comme des clampins… donc, laissons faire.

    Cependant, pour rebondir sur votre remarque ci-dessus, un site qui annonce 800.000 liens a intérêt à être de qualité. C’est souvent un point que les référenceurs bourrins oublient : combien de liens devraient avoir un blog, un site e-commerce, un site vitrine pour paraitre normal ? 800 000 liens vers un blog, ça parait grossier. 800 liens, ça parait déjà plus plausible. Maintenant si le blog c’est Tech Crunch bon ben ça parait logique… Je me vois mal avoir 800 000 liens vers le site de mon agence de webdevelopment ou mon blog.

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      Christian Méline

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      Là, le site que je cite en commentaire a 4 milliards de liens, DONT 800.000 sur UN mot-clé (ancre exacte) en principe non concurrentiel.
      Ce n’est pas un blog, c’est un site commercial de 10 pages. J’ai plein d’autres exemples croustillants du même style…

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        Christophe Maggi

        |

        TERRIFIANT !
        Quel site peut « légalement » justifier 4 milliards de liens ? Google, Microsoft, Youtube, CNN ?

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          Christian Méline

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          Des sites qui ont traversé les premiers Penguin et qui se croient, du coup, immunisés (sans doute, par confusion d’une énorme chance qu’ils prennent pour être du talent [!]).
          Dans le Majestic Million, il y en quelques-uns des comme ça…

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    Penultimax

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    Enormissime, j’ai rigolé dès les premières lignes 😉

    Je garde sous la main cette technique ^^

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    Thibaud

    |

    Cette technique n’est vraiment pas un gage de réussite, néanmoins il est vrai que ce doit être assez jouissif !

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    Franck

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    Félicitations car de nombreux SEO parlent de PAF SEO, mais je suis plutot de l’avis de Keeg et tu arrives a choisir ta 4e position sur un mot clé et monter quand tu souhaites ?
    En tout cas blog interessant

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      Christian Méline

      |

      « tu arrives a choisir ta 4e position sur un mot clé et monter quand tu souhaites ? »

      Je vérifie les mots-clés avant, pour être sûr qu’ils sont, d’après mes calculs, faisables de façon « clean » et que j’ai le budget, oui, j’y arrive dans environ 80 % des cas, mais seulement si je décide quels mots-clés sont éligibles à cette méthode (je ne suis pas le seul à y arriver d’ailleurs).

      Sur d’autres mots-clés, c’est trop imprévisible et on travaille alors de façon plus classique.

      Mais, comme tout le monde, j’ai aussi des sites qui résistent à la grimpette, quoi que l’on fasse, souvent à cause d’un passé du site que l’on trimbale toute sa vie (ou bien un CMS pourri, il en existe). Là, il faut adosser quelque chose au domaine pour l’aider (voir billet précédent)…

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    512banque

    |

    On peut aussi faire du vrai gros lien très massif, mais cloaker pour Googlebot (Googlebot ne voit pas de liens) alors que majestic en voit des milliards 🙂

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      Christian Méline

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      Les idées fusent ! 🙂

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    referencement naturel

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    Salut Christian,

    je ne savais pas que tu avais fait un blog dédié au SEO … cool !

    Cette méthode décrite peu marcher mais encore faut il que les 3 devant soient 3 bourrins, ce qui est peu le cas …
    Peu importe de tte facon, c’est une bonne stratégie !

    Merci

    Sebastien

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      Christian Méline

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      Bonjour Sébastien, en effet, on a décidé, il y a peu, de partager un peu et de « papoter » 😉

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    Jean-luc

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    Bonjour,
    oui l’idée est excellente de pousser les concurrents à l’erreur, mais comme le dit quelqu’un plus haut, difficile de décider de monter à la 6è place, puis à la 4è… Enfin ces chiffres sont là à titre d’exemple n’est-ce pas.
    J’ai bien envie de tester.

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    Monica@ Agence Animation Evenementielle

    |

    Arf! Le « Majestic Million », on croirait le nom d’un saloon pour desperados du SEO qui courent comme des chasseurs de primes après les outlaws de la très longue traîne.

    Car c’est bien de cela qu’il s’agit, non? Des NSEO hors-la-loi qui s’approprient les meilleurs bouts de Serps sur des mots-clefs du Far West.

    Et ensuite un peu de poker truqué (ou pas) pour les faire sortir de leurs gonds avec leur Derringer de poche, alors que le Marshall Google tire à la mitrailleuse…

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